Cérémonie à la gare de Dijon-21 juillet 2019
Office en mémoire des déportés Le Bien Public 28 avril 2018
Dijon : une exposition contre le racisme et l'antisémitisme
http://www.bienpublic.com/actualite/2015/07/19/une-ceremonie-pour-ne-pas-oublier
Dijon, une communauté active (Site du FSJU)
Commémoration de la déportation - Intervention de Michel Levy sur FR3 le 27-4.2012
(à 8mn 50 du début)
et à la Synagogue
Le 22 décembre 2011 - Synagogue de Dijon
Communiqué de presse de l'ACID du 10 novembre 2010
Ce week-end, à l'initiative de l'amitié judéo-musulmane de France (AJMF), à
travers toute la France, des manifestations et des échanges ont réuni les membres des deux communautés.
Le principe : des communautés juives et musulmanes s'invitent respectivement dans leur lieu de culte pour partager,
échanger et prier.
Cette année, pour la première
fois, une rencontre a eu lieu à Dijon, entre voisins, vendredi, des responsables de la mosquée de la Rue
Charles Dumont sont venus visiter la synagogue, et échanger devant le verre de l'amitié des informations
sur les deux communautés, puis, dimanche c'est devant des petits gâteaux et un thé traditionnel que
les responsables spirituels de la mosquée ont accueilli une délégation de la communauté juive
conduite par son rabbin et son président. La nourriture spirituelle était consistante, les responsables
musulmans ont expliqué à leurs visiteurs ce qu'est un prophète dans le Coran, et
se sont montrés curieux de connaître la vision juive de ces mêmes pères fondateurs, en particulier
Adam et Noé. Les divergences mettent en relief la complexité des personnages. C'est dans un ambiance chaleureuse
que la réunion s'est terminée, juste à l'heure de la prière. Nous espérons l'an prochain,
donner plus d'ampleur à cette manifestation, afin que de véritables liens puissent se nouer entre un plus
grand nombre d' enfants d'Abraham.
Ce week-end n'est pas la
seule action de l'AJMF : depuis six ans, le bus de l'association sillonne la France pour organiser des débats,
susciter le dialogue ou encore projeter des courts-métrages sur les préjugés et les stéréotypes
entre juifs et musulmans. L'association organise également des conférences dans les collèges, récemment
à Saint-Denis et Aubervilliers.
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En 2002, la coupole du bâtiment avait fait l'objet d'une importante rénovation
(photos archives BP-LD)
Lu dans le Bien Public du jeudi 3 janvier 2008
ASSOCIATION CULTUELLE ISRAÉLITE La lourde tâche de l'entretien de la synagogue
Lieu de culte de la communauté juive dijonnaise,
la synagogue nécessite un entretien parfois lourd à assumer pour l'Association cultuelle israélite locale.
Rencontre avec son président afin de faire le point sur les travaux à venir
Pas toujours
facile pour une communauté rassemblant 240 familles d'assumer l'entretien d'un lieu de culte tel que la synagogue de
Dijon. Le souvenir des importants problèmes qui s'étaient posés sur la coupole de l'édifice, en
2000, est encore très présent dans l'esprit des membres de la communauté juive locale. « A
l'époque, se souvient Israel Cemachovic, président de l'Association cultuelle israélite de Dijon (ACID),
nous avions dû fermer la synagogue pendant dix-huit mois, à la suite d'une chute de plaques de plâtre,
tombées du dôme ». Les indispensables travaux de rénovation qui avaient eu lieu avaient
révélé l'existence non pas d'une mais de deux coupoles imbriquées, ce qui avait rendu la tache
encore plus complexe. Le coût s'en était ressenti : « En tout, il y en a eu pour 400 000 euros,
poursuit le président de l'ACID, dont 20 % à la charge de notre association ». Faites le compte :
cette dernière avait donc déboursé 80 000 euros, le reste étant financé par l'Etat,
au titre de l'entretien des monuments historiques. Edifiée en 1879, la synagogue de Dijon est inscrite à l'inventaire
supplémentaire des monuments historiques. Mais comme pour tout lieu de culte, les aides publiques pour financer des
travaux ne sont attribuées que dans des conditions limitées. « Nous avons une chance, poursuit Israel
Cemachovic, c'est que le bâtiment est globalement sain ». Il a néanmoins fallu rénover l'installation
électrique dans sa totalité, pour un montant de 86 000 euros. Hiérarchie dans les urgences La prochaine étape des travaux d'entretien pourrait concerner les vitraux. « Une rénovation est
nécessaire, que ce soit par souci esthétique, mais aussi en raison de dégâts ». Pour
cet éventuel chantier, le devis global se monte à 77 000 euros. Comme il est difficile de tout financer
en même temps, une hiérarchie dans l'urgence des travaux est à déterminer. C'est le travail que
la communauté a confié à Simon Buri. Cet architecte réalise actuellement une étude complète
dans le but de ravaler totalement le bâtiment, à l'intérieur comme à l'extérieur. « Globalement,
confie Israel Cemachovic, lorsqu'on sait que la moitié du budget de l'association cultuelle est consacrée au
salaire de notre rabbin on voit bien les difficultés auxquelles on peut être confrontés lorsque, comme
en 2000, d'importants travaux sont nécessaires. Nous remercions évidemment les efforts que chacun a accompli
pour permettre les derniers travaux mais, honnêtement, une rénovation complète du bâtiment nous
laisse un peu pessimistes. » D'autant plus que l'association doit aussi sortir 8 000 euros pour financer
des travaux de sécurisation de l'édifice, partiellement pris en charge par l'Etat, qui vont avoir lieu très
prochainement. Berty ROBERT
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Lu dans Le Bien Public mardi 18 décembre 2007 Israël
autrement De M. Baha B., président de l'Association pour l'égalité et la fraternité de
Dijon. Nous tenons à remercier M. Daniel Lefevre, président de l'association d'Israël autrement, de tout
son comité directeur, ainsi que tous les nombreux bénévoles qui se sont mobilisés pour faire une
belle réussite de la semaine du 15 au 21 novembre 2007. Cette semaine, on nous a fait connaître Israël,
ce petit pays, pas plus grand que deux départements français, sans richesse naturelle en dehors de sa formidable
biodiversité, porté par son histoire récente de tout juste 60 ans mais aux fondations plusieurs fois
millénaires. Israël, cette nation constituée d'une population protéiforme venant de tous les coins
de la terre de cultures variées et de traditions diverses, mais qui donne l'exemple d'une démocratie qui pourrait
servir de modèle dans un Moyen-Orient qui en manque tellement, comme si son existence même menaçait l'équilibre
planétaire. Ces rencontres si chaleureuses, conviviales, autour de l'économie, de l'art et du tourisme israélien,
avec une mise en perspective des différents liens qui l'unissent à la France, vont tenter de l'évoquer
par d'autres journées « Israël autrement » sur Dijon et ailleurs. Merci à vous M. Frédéric
Encel, docteur en géopolitique, directeur de recherches à l'Institut français de géopolitique,
professeur de relations internationales (ESG), consultant en « risque-pays », d'avoir clôturé cette
semaine par votre conférence-débat de plus de quatre heures devant un très nombreux public, à
la salle de Flore, au palais des Ducs et des Etats de Bourgogne. Assez de morts d'un côté comme de l'autre, nous
prions, nous souhaitons, une paix durable entre Juifs et Palestiniens pour très bientôt. La vie n'est qu'éphémère.
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